Ollivander

Kyle se retourna lorsqu'il entendit la cloche. Une jeune fille entra avec, surment son père. Il lui sourit. Elle devait avoir son âge et elle devait elle aussi aller à Poudlard.
Il regarda Marion qui semblait contente pour lui. Il lui tendit sa baguette. Sa mère s'approcha du comptoir et sortit plusieurs pièces pour payer la vendeuse
*5 mornilles. A quoi cela pouvait-il bien correspondre ?* pensa Maria. Au bout de quelques minutes, elle parvint enfin à payer.

Kyle recupéra sa baguette, fier de lui.
"Au revoir Madame"
La famille Evans sortit de la boutique après que Kyle ait salué la jeune fille

Marion voyait bien que Maria ne connaissait pas l'argent moldu et lui poposa son aide
"Cette pièce c'est une mornille et sa, c'est un gallion"
Lorsqu'elle lui donna les 5 mornilles qu'elle reclama, Marion lui sourit et ajouta à l'attention de Kyle
"Au revoir et bonne rentrée à poudlard"
Lorsqu'il fut sorti, elle s'approcha de la jeune fille et lui prit des mesures. Elle se gratta la tête comme à chaque fois qu'elle reflechissait. Elle se dirigea vers l'arrière boutique. Sur son chemin, elle failli tomber à cause du chaton mais elle fit comme si rien n'etait
"Voila, je pense que cette baguette devrais voius convenir"

La mère du garçon semblait avoir quelques difficultés avec l’argent des sorciers mais la vendeuse l’aida à régler la baguette de son fils. Celui-ci croisa le regard de Charissa en sortant avec sa famille et lui sourit.
*Il doit être aussi à Poudlard lui, il doit avoir le même âge que moi. Je me demande si je vais le retrouver une fois là-bas*.
Puis son attention revint vers la vendeuse qui lui tendit une baguette après avoir prit ses mesures. Tremblante d’excitation, Charissa saisit la baguette et esquissa un mouvement… Rien ne se passa. D’un air désappointé, la jeune fille agita la main plus fort mais son père lui agrippa le poignet.
“Tu sais ma chérie ça marcherait mieux si tu la tenais à l’endroit”
Charissa se senti rougir jusqu’à la racine des cheveux. Elle qui aurait voulu faire aussi bien que le client précédent, c’était loupé. D’un air gêné, elle attrapa sa baguette par l’autre bout et la brandit d’un geste sec. Un flux d’air parfumé en sortit et rempli la boutique de senteur envoûtante. Elle eut un grand sourire. Elle venait de dénicher sa propre baguette.

Marion regarda la jeune fille. Elle semblait très impatiente, trop même. Marion souria en voyant la jeune fille tenir sa baguette a l'envers, mais ne se moqua pas. Parce que se m'etais pas son genre et puis parce qu'elle avait fait pire le jour de son achat. Elle s'en souviendra toute sa vie. Elle était parti dans ses pensées, son enfance avec son père. La drôle d'odeur la reveilla
"Mademoiselle, je crois que vous avez trouvé votre baguette"
Marion lui sourit. Elle rangea la baguette et la tendit à la jeune fille.
"5 Mornilles monsieur"
C'est étrange. Le père de la jeune fille lui rappellait quelqu'un mais ipossible de mettre un nom sur ce visage. Qui pouvait-il bien être

Tout à la contemplation de sa baguette neuve, Charissa laissa son père payer les 5 mornilles sans y faire attention. Apparemment celui-ci parlait à la vendeuse. Vaguement curieuse, elle tendit l’oreille.
“Excusez moi mais vous êtes Marion Alexandre n’est-ce pas ?”
Devant l’acquiescement de la vendeuse, il hocha la tête.
“Je t’ai tout de suite reconnu. Nous étions ensemble à Serdaigle si je me rappelle…Je n’aurais jamais cru te retrouver ici, je croyais que tu avais fini directrice de ce vieux Poudlard…”
Il lui tendit les 5 mornilles.

Marion tendit la main pour prendre les 5 mornilles.
Elle en était sur. Elle connaissait cet homme mais n'arrivait toujours pas à savoir qui c'était. Elle aciesca lorsqu'il prononça son nom. Cette voix, serdaigle, comment savait-il qui elle était ?
"Excusez moi. Votre visage me rappelle quelqu'un mais j'ai du mal à me souvenir votre nom"
Oh lala, elle devenait comme son père et avait du mal à se souvenir. Elle rangea les pièces dans la caisses et essaya vainement de repasser ses souvenirs en accélérer

Son père eu un rire léger.
“Désolé de ne pas m’être présenté. Dans mon métier nous avons plutôt l’habitude de poser des questions que de fournir des renseignements…Un défaut professionnel sans doute…Je suis Pongo Garland”
Charissa vit le regard de la vendeuse s’éclairer.
*Tiens ils se connaissent ces deux-là ?* se demanda t-elle.

Marion fronça les sourcils. Elle aurait aimé trouvé son nom avant qu'il lui donne mais c'etait trop tard. Pongo, bien sur, comment avait-elle fais pour ne pas s'en souvenir. Elle sourit et son regard brilla
"Pongo, désolé je t'avais pas du tout reconnu. Comme tu as changé. Par contre, je ne t'ai pas oublié. Comment aurais-je pu ? On a fait tellement de bétises ensemble et mon père qui enrageait"
Elle sourit à se souvenir. Le souvenir de ses années à Poudlard, de Pongo, de ses autres amis qu'elle n'avait jamais revu, de son père.
Elle touna son regard vers Charissa
"Et sa c'est ta fille ?"

La vendeuse la regarda en souriant :
“Et ça c’est ta fille ?
- Et oui, elle entre en première année à Poudlard”
Son père eu un sourire de fierté.
“ Ça ne nous rajeunit pas… quand je pense que je suis devenu auror après avoir causé tant de problème à l’école… Enfin je ne vais pas te retenir plus longtemps et puis nous devons finir les achats pour la rentrée. Si tu veux qu’on discute un de ces jours, envoie moi un hiboux” dit-il en souriant.
Charissa soupira de soulagement. Un instant elle avait craint que son père ne perde un temps précieux à discuter à discuter avec la vendeuse. Serrant fermement son étui à baguette dans sa main, elle tira légèrement son père vers la sortie.

Marion regarda Charissa comme pour conserver son visgae dans sa mémoire
"Enchanté jeune fille, on se retrouvera à Poudlard."
Elle se tourna vers Pongo
"Alors comme sa tu es devenu auror, je ne l'aurais jamais cru et mon père non plus d'ailleurs"
Elle rigola. Penser du bon vieux temps faisait du bien
"Et ben moi, j'ai pris la place de mon père. A sa mort, on m'a proposé le poste de directrice et je l'ai accepté instantanément. J'enseigne aussi l'histoire de la magie. Tu dois te demander alors ce que je fais ici ?"
Devant le regard interrogateur de Pongo, elle ajouta
"Je remplace un ami en vacance et il revient en septembre, pour la rentrée... D'accord pour le hibou, on se revoit plus tard"
Elle lui sourit ainsi qu'à sa fille

Charissa n’en croyait pas ses oreilles. Quoi ? La vendeuse était en fait la directrice de Poudlard et, qui plus est, l’un des ses futurs professeurs ? Elle rendit son sourire à la directrice d’un air crispé.
* Zut, dire que je me suis planté sur ma baguette devant elle…Elle doit me prendre pour une idiote…Mais quand même il connaît des drôles de gens papa !*
Charissa était maintenant pressée de sortir de la boutique. De toute façon elle avait sa baguette à elle maintenant. Les choses ne pouvaient que s’améliorer dorénavant. Cette pensée lui rendit sa bonne humeur et elle lança un joyeux“Aurevoir” à la directrice en sortant de chez Ollivander avec son père.

Marion regarda Pongo et sa fille partir. Elle avait la ferme intention de le revoir pour évoquer le passé. Elle allait avoir la fille de Pongo dans sa classe. Est ce qu'elle est comme son père ? Elle n'en doutait pas.

Elle rangea les baguettes qui trainait sur son bureau et sentit une petite boule de poil se frotter contre elle
"T'inquiete pas, je t'avais pas oublier"
Elle se baissa pour le caresser. Il avait le poil doux. Marion se demandait toujours ce qu'il faisait la et surtout s'il ne s'etait pas échapper de la ménagerie magique. Elle continua de s'occuper du petit animal en attendant d'autre clients

Tom rentra dans le magazin, il avait cassé sa baguette quelques jous avant et il était vraiment énervé! Il se dirigea vers la vendeuse et lui demanda si il pouvait essayer quelques baguettes d'un ton pas très amical ! Il lui dit également que son ancienne baguette était en bois de sequoia, qu'elle mesurait 33.25 cm de long et qu'il y avait une plume d'hypogriffe a l'interieur... Il voulait savoir si il y avait une baguette identique dans ce magazin